mardi 15 mars 2011

Petit jeu pour repousser ses obligations

Étant particulièrement féru de tout ce qui touche de près ou de loin à la procrastination - vous verrez, ce blog s'alimentera de par lui-même -, vous ne serez pas sans savoir que je suis un maniaque de Facebook. Par maniaque, j'entends que si j'ouvre Google Chrome, je dois absolument me connecter sur un second onglet et je peux ensuite commencer à - ou essayer de - travailler. Et, bien sûr, comme tout Facebookoholique qui se respecte, je me maintiens dans le 350 amis. Ce qui me fait beaucoup de mises à jour, mais qui sont habilement triées par un procédé qui, aujourd'hui encore, m'échappe.

Où je veux en venir, c'est que lors d'une de mes nombreuses visites quotidiennes sur le site en question, je suis tombé sur un statut Facebook qui vantait les mérites d'un jeu particulier. N'ayez crainte, je ne vous parlerai pas de The Game - j'ai perdu, et vous tous aussi - mais d'un jeu qui demande une réelle participation.

Dans un premier temps, il vous faudra un ordinateur. Et d'une connexion Internet. Mais comme nous sommes en 2011, l'un ne va plus sans l'autre. Le principe du jeu est très simple. Si vous connaissez Wikipedia, vous n'aurez pas trop de difficultés. Il vous faut, après avoir ouvert votre navigateur, vous rendre sur le dit-site et cliquer sur le lien Un article au hasard. Cest là que le fun commence. Vous avez droit à cinq clics de souris pour trouver la page d'Adolf Hitler. Vous devez, obligatoirement, fouiller tous les hyperliens qui permettent de jouer dans les intertextes de Wikipedia pour atteindre votre but.

C'est un peu addictif, surtout quand on a des devoirs à faire, croyez-moi. Et même si au premier essai, vous vous dites «Faciiiiile!», le deuxième pourrait vous causer bien des problèmes. Et le troisième aussi.

Si jamais vous êtes un peu sensible sur le sujet de l'Holocauste, et que trouver Hitler n'est pas ce que vous considérez comme une partie de plaisir, vous pouvez changer votre but pour Mel Gibson. Après tout, un anti-sémite ou un autre, ça revient au même.


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